Trousse pour INTERVENANT.E.S allochtones

S’adapter aux élèves

Outil visant à répondre aux inquiétudes du personnel allochtone, la trousse offre des ressources et des activités de coformation pour le développement de compétences des enseignant.e.s et intervenant.e.s en contexte interculturel. Trois axes : savoir-être; savoir-faire et savoirs. Dix activités.

Caroline Talbot, consultante, Institut Tshakapesh

TSHETSHI TSHISSENITAKANIT

La trousse d'accueil pour intervenant.e.s allochtone.s exprime la vision des Premiers Peuples et favorise la transmission de leurs valeurs.

"Cet outil est destiné à toutes les ressources éducatives et à tous les professionnels qui œuvrent dans le milieu de l’éducation, que ce soit dans un milieu de scolarisation en langue première ou en langue seconde, en communauté ou en milieu urbain."

https://eduq.info/xmlui/bitstream/handle/11515/38062/revue-perseverance-reussite-scolaire-premiers-peuples-4-2021.pdf?sequence=2#page=86

PHOTO : RADIO-CANADA / MARC-ANTOINE MAGEAU

LES COLLOQUES

Partager et réfléchir sur l’éducation autochtone

Les colloques, les forums et les sommets sont des lieux privilégiés pour partager l’expertise des personnes participant à la réussite et à la persévérance des élèves des Premiers Peuples. Certaines communautés et organisations proposent périodiquement des événements; c’est le cas entre autres de l’Institut Tshakapesh et d’ITUM, qui organisent tous les deux ans, à intervalles, des rassemblements pour les enseignant.e.s, chercheur-euse.s et autres acteurs des milieux de l’éducation et de la transmission culturelle. Le Colloque sur la persévérance et la réussite scolaires chez les Premiers Peuples est un autre événement bisannuel à ne pas manquer. 

https://vimeo.com/709605334

COLLABORATIONS ACCOMPAGNEMENT

Inciter à la réflexivité

L'accompagnement repose sur l’équité dans les relations. L’expertise des intervenant.e.s du terrain doit être reconnue et valorisée. Au-delà de l’école, c’est l’ensemble des services qui pourra déployer diverses expertises pour faciliter la mise en place de solutions créatives pensées par et pour la communauté.

Vanessa Ratté, coordonnatrice des services éducatifs, Institut Tshakapesh

Vaincre les PRÉJUGÉS

Pour assurer le bien-être des élèves innu.e.s dans l’école, il faut commencer par contrer la méconnaissance, susciter la réflexion pour reconnaître ses propres préjugés et ensuite contribuer au développement collectif. Les enseignant.e.s, autant que les élèves, bénéficieront d’un environnement culturellement sécuritaire.

Vicky Arseneault, agente de liaison & orthopédagogue, école Monseigneur-Labrie

UN PROGRAMME CULTURELLEMENT ADAPTÉ ET RÉPONDANT AUX BESOINS DES MILIEUX

Cet article présente le Programme court de premier cycle en éducation préscolaire en contexte autochtone coélaboré par le Département des sciences de l’éducation de l'UQAC, l’Institut Tshakapesh et le CPNN et développé dans le but de répondre aux besoins des milieux de pratique. Quelques étudiantes témoignent des apprentissages qu’elles ont réalisés pendant leur formation.

https://eduq.info/xmlui/bitstream/handle/11515/38062/revue-perseverance-reussite-scolaire-premiers-peuples-4-2021.pdf?sequence=2#page=22

Programme court en ÉDUCATION PRÉSCOLAIRE en contexte autochtone

La création d’un programme court de premier cycle est un moyen de répondre aux besoins de formation des communautés des Premières Nations. On pourra développer conjointement des cours intégrant les perspectives autochtones et déployer des pédagogies autochtones dans la formation, ajuster les horaires et/ou faciliter le pas vers la formation à l’enseignement.

Sylvie Pinette, directrice des services éducatifs, Institut Tshakapesh
Elisabeth Jacob, professeur en éducation préscolaire, UQAC